Cette expression est souvent une banalité que l’on dit à quelqu’un pour le consoler d’avoir perdu quelque chose ou quelqu’un à laquelle il accordait une très grande valeur, lui signifiant que cela sera, en fait, vite replacé et en nombre.
Expression attestée dès le 13e siècle, on dit d’abord: “un de perdu, deux de retrouvés” avant que la variante numérique ne devienne dix.
Cette expression est généralement utilisée pour consoler le dépit amoureux.