Cette expression découle d’une autre expression du 15e siècle: “qui se sauve qui le peut” et image une fuite générale et désorganisée.
Les origines de cette expression sont sûrement à relier au domaine militaire. Ainsi, elle désignerait une compagnie qui bat en retraite devant l’ennemi de façon complétement désordonnée, dans une panique générale.
De nos jours, elle prend le sens de “déroute“, de “débandade“