5. Le chaperon

Les rapaces diurnes ayant aussi une vue exceptionnelle et une grande nervosité, on a généralisé le port du chaperon, aveuglant l’animal dans l’espace public en dehors des phases de chasse. Le chaperon aujourd’hui désigne une personne et non un accessoire, même s’il s’agit bien de la même fonction.

6. Le haut-vol

Enfin, il faut bien distinguer rapaces de bas-vol et rapaces de haut-vol. Dans la première catégorie on trouve les accipitridés comme l’aigle et la buse, deux rapaces qui n’étaient pas utilisés en fauconnerie européenne. L’autour et l’épervier, de la même famille, étaient largement utilisés, souvent à pied dans les forêts sur du gibier varié, oiseaux et Lire plus …

7. La carrière

L’attaque d’un faucon comprend plusieurs phases dans l’accélération, accélération spectaculaire qui va jusqu’à 390 km/h chez le faucon pèlerin, un record dans le monde animal. Cette succession de phases a un nom très spécifique : la carrière, allant crescendo. En espérant que cette période qui voit peut être une pause dans votre carrière, désormais professionnelle, vous permette Lire plus …

CPA n°70

Voici une lithographie de 1837, tirée de l’Album pittoresque de l’Ain et des environs, publication mensuelle éditée à Bourg-en-Bresse, entre 1836 et 1839. Le dessin représentant le château est dû à Adolphe de Tricaud, propriétaire des Allymes entre 1847 et 1872. C’est aussi le seul dessin de sa main paru dans l’Album de l’Ain. Les Lire plus …

CPA n°67

Voici la 4e carte de la série de 5, une carte sur laquelle la gare et ses bâtiments annexes se distinguent nettement. Il s’agit en fait de la carte n°3 retravaillée. Le château des Allymes sur son mollard est cette fois-ci bien visible.

CPA n°65

Voici le 2nd cliché de la série de 5. Cette photo est prise quasiment du même endroit que la 1ere. Néanmoins, on s’aperçoit que le photographe s’est orienté vers le NO, ce qui permet de voir nettement la gare et les trains qui y entrent ou stationnent.

CPA n°64

C’est le 1er cliché d’une série de 5. Des clichés pris entre 1920 et 1940 parfois très similaires, pris depuis l’éperon où se trouve la Tour Saint-Denis. Parfois c’est le lieu de la prise de vue qui change, parfois juste le réglage du zoom !